mardi 16 février 2010

Le cinéma sans peine


Il y a des films qu'il n'est pas nécessaire d'aller voir au cinéma: la bande annonce suffit. Ainsi, Wolfman, qui nous raconte l'histoire d'un homme qui se transforme en loup-garou.

Dès les premières images, on se dit qu'on a tout compris: un jeune homme amoureux, qui se fait mordre une nuit par une de ces créatures fantastiques, genre bête du Gévaudan, et qui va devenir mi-homme mi-bête. Saura-t-il réintégrer pleinement sa forme humaine? Et, surtout, reviendra-t-il vers son premier amour?

Voilà le film, et je baille rien que d'y penser. Pour ma part, je préférerai nettement qu'il reste ce qu'il est: un vilain loup-garou qui finira par mordre, et donc contaminer, sa belle amoureuse.

Pour le reste, point n'est besoin d'aller au cinéma pour se plonger dans une ambiance gothique, crépusculaire, victorienne à souhait: relire Dracula suffit largement et, pour ma part, c'est un plaisir dont je ne me lasse pas.

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